« Bien des gens déçus demeurent sur le carreau à attendre l’autobus de la perfection »
Donal Kennedy

 

Nous avons tous besoin de réussite et d’accomplissement, cela nous donne un sentiment de fierté et nous avons besoin de cela pour tirer satisfaction de la vie. Jusqu’ici, tout va bien.

Le problème, c’est quand ce besoin devient une obsession..

En effet, l’obsession de la perfection peut vous conduire à de perpétuelles déceptions et une insatisfaction permanente. Ce n’est jamais assez bien, vous ne vous sentez jamais à la hauteur, vous avez peur du jugement de vous-même et des autres. Vous attendez beaucoup de vous-même car vous ne posez pas de limites et vous vous épuisez.

Bref, si vous n’êtes pas parfait, vous n’êtes pas acceptable et cela peut créer en vous un sentiment profond de frustration et vous conduire petit à petit à la somatisation et à la dépression. 

Vous êtes épuisés, frustrés, parfois déprimés, alors que …

La perfection est un absolu, et l’absolu n’existe pas dans la réalité. En cherchant à atteindre la perfection, vous pensez pouvoir atteindre quelque chose que vous pensez à votre portée alors qu’en fait, cela n’est pas possible. La perfection n’est qu’un concept, une abstraction. 

Mieux vaut viser l’excellence que la perfection.  

En d’autres terme, bannissons cette recherche permanente de perfection. Acceptons de ne pas être parfait, acceptons que la vie n’est pas parfaite, acceptons de nous tromper, de faire mieux la fois suivante, de nous féliciter de nos petites victoires.

Faisons de notre mieux, améliorons nous un peu plus chaque jour, visons la croissance et l’amélioration de soi pour des choses qui comptent vraiment à nos yeux. En résumé, apprenons à nous aimer et nous respecter tel que nous sommes, avec nos défauts et nos imperfections. 

Ces mots sont pour tous les perfectionnistes fatigués, et si vous commenciez par essayer de lâcher prise pour apprécier une vie imparfaite ?  Elle n’en sera que plus douce 🙂

 

 

« Une tâche commencée est une tâche à moitié terminée »

La procrastination, c’est l’art de toujours remettre au lendemain les prises de décisions ou leur exécution.

Toutes les excuses sont bonnes pour procrastiner :

• « je n’ai pas le temps aujourd’hui… »
• « j’ai plus urgent à faire… »
• « ça ne dépend pas que de moi.. »
• « Je suis trop fatigué pour le moment… »

 

Toutes ces excuses sont finalement une forme d’évitement, une forme d’entrave à la réussite et au succès car de nombreux projets ne verront jamais le jour à cause de la procrastination. 

Remettre toujours au lendemain, jusqu’à attendre le dernier moment pour le faire, ne fait que créer du stress, de la peur et de la culpabilité. C’est une forme d’auto-sabotage car, en procrastinant, nous sabotons l’accomplissement de nous-même. 

On attend toujours après quelque chose pour se lancer, le bon moment, la bonne occasion, les bonnes conditions… Or, prétexter d’attendre le bon moment pour agir n’est pas la solution car les conditions parfaites ne seront jamais toutes réunies.

Lorsque nous procrastinons, nous faisons parfois comme si le problème n’existait pas, nous préférons ne pas y penser, et on repousse encore et toujours la mise en action. Sauf qu’en occultant le problème, celui-ci est loin de disparaître, bien au contraire. Il prend de l’ampleur, ce qui ne fait qu’augmenter notre culpabilité. 

Comment vaincre la procrastination ? 

Un des recettes pour vaincre la procrastination n’est pas magique mais peut vous aider à arrêter de toujours repousser au lendemain : L’organisation et la planification. 

Cette méthode est simple et efficace, faire une liste de vos priorités en fonction de leur urgence et de leur importance :

• ce qui est urgent et important : ce sont les tâches que vous devez faire en premier, avant toute autre chose, le jour même.
• ce qui est important mais pas urgent : se trouve ici le piège de la procrastination. Ce sont souvent ces tâches que nous repoussons au lendemain et que nous avons tendance à oublier. 
• ce qui est urgent mais pas important : généralement, ce sont des tâches que nous pouvons déléguer. 
• ce qui est ni urgent ni important : ce sont les tâches faciles, que nous aimons réaliser, et qui nous détournent des tâches importantes. 

Grâce à cette méthode simple, vous pouvez commencer à vaincre la procrastination en mettant en action chacune des tâches en fonction de leur priorité. Petit à petit, tâche après tâche, vous allez ressentir un sentiment de fierté et de soulagement. Surtout qu’il s’agit d’un cercle vertueux, plus vous allez agir, plus vous aurez envie d’en faire encore un peu plus. 

En kinésiologie, nous pouvons travailler de manière approfondie sur la procrastination pour vous aider à devenir ou re-devenir acteur de votre propre vie, vous accompagner sur le chemin de l’accomplissement de vous-même. 

Au plaisir de vous accompagner, 

Emmanuelle.

Sans eau, rien ne peut vivre.

L’eau est le principal composant de l’organisme, il représente 60 à 70% du corps humain. L’eau parcourt chacune des cellules de notre corps. Elle provient principalement des boissons que nous buvons et des éléments solides que nous ingérons. 

Lorsque nous manquons d’eau, des symptômes désagréables peuvent apparaître tels que des brûlures d’estomac, une sensation de « mal digérer » (dyspepsie), des douleurs articulaires ou migraineuses, des colites ou encore des malaises matinaux pour les femmes enceintes..

Il est très important de boire régulièrement au cours de la journée afin d’éviter la déshydratation. 

En effet, l’eau est la principale source d’énergie pour le corps, c’est le liquide directement disponible pour le corps. 

Elle présente énormément de bienfaits pour le corps et l’esprit, notamment :

• L’eau aide à réduire la fatigue et restaure les rythmes de sommeils normaux.
• L’eau aide à réduire le stress, l’anxiété et la dépression.
• L’eau peut prévenir les désordres liés au déficit de l’attention chez l’enfant et l’adulte. 
• L’eau rend la peau plus lisse et aide à prévenir le vieillissement.
• L’eau diminue la douleur du syndrome prémenstruel ainsi que les bouffées de chaleur.

Également, boire de l’eau permet de dissocier les sensations de soif et de faim. D’ailleurs, quand vous avez soif, buvez de l’eau car la faim est souvent une soif mal interprétée. 

Le corps a besoin, en tout, de 2,5 à 2,8 litres d’eau par jour. Autrement dit, pour être en forme et profiter des bienfaits de l’eau, il vous suffit de boire 10 bons verres d’eau dans la journée. 

Alors à vos verres d’eau ! 

Les réflexes archaïques sont des réflexes primitifs, c’est-à-dire des mouvements automatiques involontaires, qui répondent à certains stimuli et qui apparaissent chez les nouveaux-nés. Ils peuvent apparaître aussi dans la vie intra-utérine.

Les bébés vont intégrer ces réflexes, qui disparaîtront ensuite. 

Il peut arriver que les bébés intègrent mal ou n’intègrent pas certains réflexes, ce qui peut expliquer certaines difficultés dans l’apprentissage de l’enfant.

Le réflexe spinal de Galant se teste de la façon suivante : lorsqu’on caresse le bébé sur une ligne parallèle à la colonne vertébrale, alors le bébé se penche du côté où nous venons de faire la caresse. 

D’ailleurs, ce réflexe participe à l’accouchement. En effet, les contractions utérines déclenchent ce réflexe et aident le bébé par ce mouvement de tortillement droite et gauche à avancer dans la filière pelvi-génitale. De plus, après la naissance, ce réflexe pourra contribuer aux mouvements de reptation. L’intégration de ce réflexe est donc nécessaire pour que le bébé apprenne à ramper correctement. 

Le réflexe spinal de Galant apparaît entre 3,5 et 4 mois de vie intra-utérine et doit s’intégrer entre 5,5 et 9 mois après la naissance. 

Lorsqu’il est bien intégré, le réflexe spinal de Galant contribue à un bonne unité fonctionnelle de la colonne vertébrale dans le mouvement d’inclinaison latérale (compétence biomécanique), à une bonne capacité d’anticipation (compétence cognitive) et permet également de se sentir flexible (compétence émotionnelle). 

Lorsque ce réflexe n’est pas intégré ou mal intégré, il peut être la cause de bon nombre de difficultés chez l’enfant, dont notamment : 

• dyslexie 
• bougeotte, sensation permanente d’inconfort
• manque de persévérance
• fatigabilité physique
• énurésie ( enfant qui fait pipi au lit )

En kinésiologie, nous avons des procédures pour ré-intégrer les réflexes archaïques. Si vous constatez ces troubles de comportement chez votre enfant, n’hésitez pas à consulter.